Restons Chelous — Le spectacle-soin interactif d’une Guérisseuse
14h – 17h Le samedi 13 décembre Hôtel IBIS rue Henri Matisse 56 000 VANNES je m'informe
Il y a des expériences dont on peut parler des heures sans jamais réussir à en saisir l’essence. Restons Chelous fait partie de celles-là. On peut essayer d’expliquer, de tourner autour, de mettre des mots sur ce qui s’y joue… mais, honnêtement, tant qu’on ne l’a pas vécu, on ne sait pas vraiment. Et étrangement, même en le vivant, on ne sait pas tout à fait non plus. Et c’est précisément ce flou, ce mystère, cette zone de non-savoir qui fait que ça marche.
Parce que oui : moins tu comprends, plus c’est efficace.
Ici, la compréhension ne vient pas de ta tête intellectuelle, de ta logique rationnelle, ni de ton envie de tout analyser — on les connaît, ces petites parties de toi, très efficaces pour remplir des dossiers administratifs, mais beaucoup moins pour te reconnecter à ton humanité profonde. Restons Chelous s’adresse à autre chose : ton corps, ton intuition, cet espace en toi où les choses bougent, se dénouent, respirent à nouveau. Tout ce qui circule mal se met à circuler ; ce qui était figé retrouve du mouvement ; ce qui était confus s’éclaire — mais d’une lumière qui se ressent plus qu’elle ne s’explique.
Ce n’est pas magique. Ce n’est pas mystérieux. Et en même temps, ça l’est complètement.
D’ailleurs, tu vas probablement passer une partie du spectacle à te dire :
« Je ne comprends RIEN. »
Et c’est parfait.
C’est même le but.
Parfois, ce sera poétique, presque comme un rêve éveillé où les mots glissent sans qu’on les attrape. Parfois, ce sera doux, enveloppant, comme une caresse qui tombe du plafond. Parfois, au contraire, ce sera un peu bousculant — juste assez pour que quelque chose en toi se dérange, se redresse, se réveille. Et parfois encore, ce sera tout simplement étrange, drôle, absurde, improbable, un grand bazar qui a l’air improvisé mais qui, au fond, est organisé avec une précision millimétrée.
Ce spectacle-soin, c’est comme entrer dans une bulle où tout le monde se met à exister ensemble sans savoir pourquoi. Tu auras cette impression très particulière de connaître toutes les personnes autour de toi, comme si vous aviez vécu un truc ensemble dans une autre vie… alors qu’en réalité, tu ne connais probablement personne. Et pourtant, une familiarité douce s’installe, une confiance étrange, une chaleur humaine qui ne demande aucune explication.
Oui, parfois je parle dans des dialectes inventés — des sons, des langues qui n’existent pas, des mélodies de mots qui n’ont pas de traduction. Et pourtant, si je fais bien mon travail, tu comprendras ce que je veux te dire. Pas avec ta tête, mais avec ce qui se passe dedans, dehors, autour, et peut-être même au-delà. Tu comprendras des choses sans qu’aucun des mots prononcés n’ait un sens conventionnel. Et c’est très bien ainsi : on n’est pas là pour faire un cours de linguistique.
Comme tu l’as compris (et si tu ne l’as pas compris, tu vas le comprendre très vite), c’est un spectacle interactif. Oui, toi aussi tu participes. Ne panique pas : on ne va pas te demander d’exécuter une chorégraphie contemporaine, de marcher sur les mains ou d’imiter une antilope des steppes. Non, l’idée n’est pas de te ridiculiser mais de te faire vivre quelque chose : un geste, un son, une présence, un petit mouvement qui fait du bien. On pourrait dire que tu dois « participer juste assez », obéir à mes consignes avec la bonne dose de sérieux et de souplesse, et rire à mes blagues (même quand elles sont un peu nulles — et parfois, elles le seront volontairement).
En gros : tu te laisses porter, tu te laisses surprendre, tu te laisses sentir.
Et si tu te laisses vraiment embarquer, si tu me fais confiance le temps d’un après-midi, alors quelque chose se passe. Un petit quelque chose, un grand quelque chose, un truc subtil ou un truc fort — ça dépend de toi, de ton énergie du moment, de ce que tu viens chercher sans le savoir. Mais il se passe toujours quelque chose.
Ce spectacle, je l’ai créé pour remettre du vivant dans les endroits où la vie a pris poussière. Pour ramener du souffle, du rire, de la connexion, du mouvement dans les espaces qui étaient devenus un peu trop sérieux, un peu trop tendus, un peu trop silencieux. Pour rappeler à chacun qu’on n’est jamais vraiment seul, qu’il existe en nous une sagesse qui parle autrement que par des mots, et que parfois, en passant par le jeu, l’étrangeté et le lâcher-prise, on se retrouve plus clairement que dans n’importe quelle explication.
Et puis, soyons honnêtes : c’est aussi une manière de se rappeler que l’humanité n’est pas perdue, que les liens peuvent se créer en quelques instants, que le rire et la vulnérabilité sont des forces, et que la bizarrerie — oui, la bizarrerie assumée — peut être profondément guérisseuse.
Restons Chelous, c’est un voyage, une exploration, une parenthèse où tu n’as rien à prouver, rien à comprendre, rien à réussir. Tu viens comme tu es, tu repars comme tu veux — peut-être plus léger, peut-être bousculé, peut-être apaisé, peut-être transformé.
Et si tu as envie d’aller encore plus loin, de vivre quelque chose de plus intime et de plus profond, sache que le matin, au même endroit, j’anime un atelier « expérience chamanique ». C’est une immersion différente, complémentaire, plus ancrée, plus directe.
Tu peux découvrir cet atelier et t’y inscrire via le lien habituel.
Si vous souhaitez un style plus poétique, plus marketing, plus sérieux ou plus provocateur, je peux adapter cette version !